Nos interventions sont coconstruites avec vous pour répondre au plus près à vos besoins.
Individu et collectif
Dire le travail, au singulier et en collectif : c’est le fondement de notre démarche.
Nous concevons le travail comme une activité engagée vis-à-vis d’autrui pour contribuer à la reproduction et au développement de la vie sociale. Tout travail, même solitaire, est inscrit dans du collectif. Mais tout travail est aussi singulier. Même dans des tâches apparemment monotones et identiques, chacun se débrouille à sa manière de ce qu’il a à faire.
Aussi les dispositifs que nous proposons, qui visent à dire, comprendre, faire connaitre et reconnaitre le travail, combinent de diverses manières le singulier et le collectif.
Dire, écrire, partager
Le travail en groupe d’atelier ou de formation est un lieu privilégié de rencontre entre la singularité de l’expression (je dis ce que je peux dire de la façon dont je crois juste de le dire) et la nécessité du partage de l’expression (à quoi bon s’exprimer si ce n’est pour ne jamais être entendu ?).
Nous accordons une place particulière au recours à l’écriture : sans être une fin en soi, elle est un moyen privilégié d’explorer les contenus et les ressorts d’une activité professionnelle, de découvrir et de redécouvrir ce qu’on fait, ce qu’on sait faire. L’écriture, comme processus, est une démarche personnelle, révélatrice d’un style, d’une personnalité, d’une manière de penser ; l’écrit, comme produit, se prête à l’échange, à la diffusion, à la socialisation.
Dire le travail n’est pas tout : pour des interventions en complémentarité
Dire Le Travail soutient l’émergence d’une parole juste et authentique par rapport au travail ; elle ne se substitue pas aux instances déjà engagées dans le traitement des questions collectives. Nous pensons que ces manières distinctes d’aborder les questions du travail se complètent et sont appelées à se renforcer mutuellement.
Au-delà, dans une logique d’intervention ou d’accompagnement au niveau d’une équipe ou d’un organisme, il s’agira de spécifier les objets de travail de chaque lieu. Un groupe d’expression sur le travail ou d’analyse de pratiques ne remplace pas une réunion syndicale ni une CSSCT : l’objet n’est pas le même. Cependant, dans un tel groupe peuvent émerger des situations qui correspondent à une problématique collective et attendent une réponse institutionnelle.